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Éditions Gallimard - Mars 2014 - ISBN : 9782070137978 - 156 pages
Comme Pierre Lemaître dans Au revoir là haut ou Yael Hassan dans Souviens-toi Leah !, Jean-Christophe Rufin interroge ici l'après guerre de deux soldats de la première guerre mondiale : un gradé qui a combattu dans la Somme, un "simple caporal" qui a reçu la légion d'honneur sur le front est dans les Balkans.
J'avais repéré les articles à la sortie du livre et ai eu la chance de la trouver vite à la bibliothèque. Et je n'ai pas été déçue.
En dire plus que la présentation du livre sur le site de l'éditeur ou que l'entretien accordé à l'occasion de la sortie par son auteur serait trop déflorer l'intrigue car comme le juge Lantier, j'ai eu hâte de comprendre ce qui avait poussé Morlac à décorer "son" chien Guillaume de la Légion d'honneur qui lui avait été remise, conduisant à son emprisonnement. Et à la rencontre des deux hommes qui permet d'interroger les conflits et ce qu'ils ont fait des hommes.
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Pour les 3 ans de deux jumelles, 2 tee shirt brodés grâce à :
- de la toile à broder soluble dans l'eau DMC (premier essai et à refaire pour ma puce et moi pour agrémenter les basiques unis)
- deux modèles trouvés sur le Pinterest de Caro - Croisez les fils
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Pour l'anniversaire de la création du CNR, le Chant des partisans :
ainsi que, pour celles et ceux qui souhaitent aller plus loin un reportage - hommage à Anna Marly, auteur de la musique du Chant des partisans :
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Vendredi matin, j'ai dû me rendre à l'évidence que l'en-cours prévu pour la fête des mères ne pourrait être réalisé ... Du coup, j'ai dû changer mon fusil d'épaule et c'est Caroline qui m'a sauvé la mise ...
Je craignais les finitions, surtout vue l'heure à laquelle la toile a été finalisée, mais en suis mieux sortie que pour la décoration de Pâques ...
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Depuis l'Antiquité, et notamment les célébrations de Rhéa, mère de nombreux Dieux grecs, rares sont les pays où une journée par an, les enfants ne pensent pas plus spécialement à leur maman.
Aux esprits chagrins qui croient encore que la fête des mères n'est qu'une institution du gouvernement de Vichy, à jeter aux orties, au regard ce ce que la période véhicule, je ne saurai que conseiller de se mieux documenter.
A toutes les mères :
- celles qui ont porté la vie en leur corps,
- mais également celles qui n'ont pas eu la joie de vivre ces 9 mois (et plus), par contrainte ou choix, mais qui savent donner, encourager, accompagner, faire grandir celles et ceux qui leur sont confiées
je dédie aujourd'hui cet arbre de fleurs.
Marie-Aude
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