-
Papotages créations avec une amie, délicieux smoothie fait maison (et sur commande s'il vous plaît), et apprentissage des bracelets en crazy/cheri / rainbow loom
Bouquet de fleurs, fabriqué en chœur et avec cœur
Bougainvillier pour égayer ma terrasse
Famille réunie - et une pensée pour l'absent du jour, et invitation (je pense) réussie
Marbré très long à cuire (mauvais choix du moule) mais qui valait son temps d'attente
Nouvelles échangées (appels téléphoniques et / ou courriels)
3 commentaires -
J'avais prévu d'aller écouter hier soir le GAM en concert gratuit sur ma ville. Mais ça, c'était avant ... que j'apprenne qu'un spectacle musical 10 mois d'école et d'opéra : 14 + 18 était donné à l'opéra ...
La presse étant élogieuse et malgré un retour tardif de région parisienne, nous avons pu avec mon aîné assister à ce spectacle. Ce que nous n'avons pas regretté.
Beaucoup d'émotions dans ce spectacle, d'autant que c'était la dernière fois que tous les élèves étaient ensemble sur scène. Donc des larmes après la dernière reprise du " Gloire immortelle de nos aïeux " (chœur des soldats de Faust de Charles Gounod).
L'article de presse consacré au spectacle est plus qu'en demie teinte et ne met pas en exergue les émotions que les élémentaires d'Aubervilliers et Laxou et les collégiens d'Argenteuil et Reims ont su nous faire passer.
Théâtre, chant, danse, accompagné par un orchestre dans la loge surplombant la scène côté jardin et sous la direction de la chef de chœur Lucie Larnicol présente parmi les spectateurs du deuxième étage.
Pour aller plus loin, entretien avec la chef de chœur et la metteur en scène Marie-Eve Signeyrole sur le site de l'opéra de Paris.
2 commentaires -
"Le bonheur, c'est le moment où
ce que tu penses,
ce que tu dis
et ce que tu es
sont en harmonie."
(Gouache et encre sur papier de 1920 par André Girard - Source image)
votre commentaire -
Je vois demain pour la dernière fois la maîtresse de mon aîné.
Un coussinet de lavande vite brodé ce matin et une petite carte pour l'occasion :
4 commentaires -
Bayard - Mars 2014 - ISBN :9782227482449 - 165 pages
Une amie, membre de ma famille spirituelle (la famille marianiste) m'a conseillé quand elle a appris ma situation personnelle de me rapprocher de l'association Renaissance.
Il n'y a pas de groupe près de mon lieu de résidence, mais j'ai parcouru le site, lu les articles récents, notamment celui intitulé Quel chemin après l'épreuve ?, qui se termine par la même invitation que celle qui ce carême m'a mis sur la route de la vie. ( « Choisis la vie ou la mort. » - Deutéronome, 30), ainsi que les anciens numéros des revues Partage, dans lesquels j'ai repéré cet ouvrage.
Les trajets de ce jour m'ont permis d'en venir à bout en une traite. Le père Jean MONBOURQUETTE, qui fut prêtre et psychologue québécois est un des premiers à avoir voulu relier l’approche psychologique et l’approche spirituelle.
Quel que soit l'ancienneté de nos deuils, petits ou grands, ce livre nous en rappelle les étapes (le choc, le déni, l'expression des émotions, la réalisation des tâches rattachées au deuil, la découverte d'un sens à la perte, l'échange des pardons, l'héritage, la célébration de la fin du deuil) et nous donne des pistes pour lâcher prise et en ressortir plus fort, redevenir humain. "[Notre ] psychisme [...] possède tout en lui pour [nous] guérir et [nous] faire grandir. [... Nous sommes appelés à devenir] à la fois plus [nous-même] et plus humain envers les autres." Et à chanter avec la môme Piaf "Non, rien de rien, je ne regrette rien ...".
Il nous révèle que les principaux écueils à ce travail de deuil sont souvent intérieurs, donne des pistes concrètes pour continuer à vivre et aller plus loin quand nous nous trouvons au creux de la vague, des points de vigilance pour ne pas trop présumer de nos forces, accepter que tous nos domaines soient impactés
"L'âme n'aurait pas d'arcs-en-ciel si les yeux n'avaient pas de larmes" dit un dicton anglais de la page "Pensées réconfortantes" ... Qui me renvoie à ce "Il y a toujours un arc-en-ciel" de clôture de mon premier séjour à Taizé avec frères Franck et Olivier et les jeunes de l’aumônerie du collège Saint André de Colmar, à l'époque encore sous tutelle des frères marianistes.
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires