• Des hommages ont eu lien le week end dernier pour célébrer le centenaire du début de la bataille de Verdu, et le décès du lieutenant-colonel Emile Driant au Bois-des-Caures, le 22 février 1916, au deuxième jour de la bataille.

    Il y a cent ans, au Bois-des-Caures

    Photo : Jean-Philippe Tranvouez. France 3 Lorraine.


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  • Le 25 février dernier, la Ville de Nancy a apposé sur le mur extérieur de la Fédération du BTP de Meurthe-et-Moselle, au 60 rue de Metz à Nancy, une plaque soulignant l’action de ce citoyen et patriote exemplaire : policier, il fut résistant, déporté et donc Juste parmi les Nations.

    Au début de la guerre, peu de temps après son affectation en Lorraine, Marcel Galliot, policier dévoué, a rejoint une unité combattante, unité avec laquelle il est fait prisonnier. Libéré en 1941, il intègre aussitôt la Résistance et participe au recrutement, aux sabotages et aux distributions de tracts organisés par les réseaux nancéiens, déterminés et très actifs.

    Il sauve également la vie de plusieurs familles juives en leur fournissant de faux papiers d’identité et en les aidant à quitter la ville.

    En raison de cet engagement, il est emprisonné à la prison Charles III où il est torturé. Puis il est déporté au camp de Buchenwald. Pendant cette période de privation et de souffrances, il n’a jamais trahi ses camarades et la cause qu’il défendait.

    Après la guerre, il a repris sa carrière de policier et reçu de nombreuses distinctions, parmi lesquelles la Légion d’honneur, l’Ordre national du mérite et le titre de Juste parmi les Nations décerné par Yad Vashem.

    Les recherches menées par ses proches et les services de la Ville de Nancy nous ont appris que Marcel Galliot avait utilisé la demeure située au 60 rue de Metz à Nancy pour cacher des personnes réfractaires au STO et d’autres Nancéiens traqués par la le régime nazi et les miliciens français.

    Cette maison appartenait à l’époque à la famille Hinzelin, propriétaire des Brasseries de Champigneulles, qui l'a aidé à sauver ces personnes en danger. La demeure a été cédée en 1947 à une entreprise qui l’a, à son tour, revendue à la Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics.


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