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Par au fil des ouvrages le 29 Janvier 2017 à 21:47
Un beau coucher de soleil
Une sortie au grand air pour aller nourrir les chèvres lorraines
Ranger précieusement les fossiles offerts par un collectionneur en fonction de leur âge géologique, en sélectionner quelques uns pour décorer le salon et accepter que ce que nous avons ramassé sur le terrain sera plus joli pour consolider le cairn à l'angle du jardin. Arranger les plus beaux spécimens pour les y mettre en valeur.
Découvrir dans le jardin plein de nouveau pied d'orchis bouc (une vingtaine quand je n'en connaissais que 4 à l'automne dernier) et entourer chacun de deux petits bâtons pour essayer de ne pas casser leur tige au printemps.
Placer la pierre en forme de cœur remarquée par Mademoiselle A sur la décoration de la terrasse
Observer Grand A nettoyer patiemment les obsidiennes ramassées aussi sur le terrain, après avoir appris ce matin sur le MOOC Vitra que c'était du verre naturel (vidéos de la semaine 0 du cours en ligne regardées et tests effectués ensemble).
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Par au fil des ouvrages le 22 Janvier 2017 à 12:19
En écho à la publication Rien à voir de Barbibouille, voici l'arrivée de la neige samedi passé (14 janvier 2017 - 20h55) :
Et le même paysage le lendemain matin :
et ce matin :
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Par au fil des ouvrages le 22 Janvier 2017 à 12:15
Des surprises dans la boîte aux lettres, avec des présents qui font chaud au cœur :
Une belle ballade avec Mademoiselle A., occasion d'apercevoir pour la première fois ici des chevreuils, de nourrir les chèvres et de profiter des merveilles de la nature. D'apprécier aussi combien plus nos yeux sont performants que les appareils photos numériques standard.
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Par au fil des ouvrages le 10 Janvier 2017 à 15:28Si j'étais l'amie du bon Dieu, si je connaissais les prières, si j'avais le sang bleu, le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne, princesse, fée, grand capitaine, d'un noble régiment. Si j'avais les pas d'un géant.
Je mettrais du ciel en misère, toutes les larmes en rivière, et fleurirais des sables où fuit même l'espoir.
Je sèmerais des utopies, plier serait interdit, on ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents, le talent, la force ou le charme, des maîtres, des puissants, si j'avais les clés de leurs âmes.Si je savais prendre les armes, au feu d'une armée de titans, j'allumerais des flammes, dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines. J'inventerais des Édens, aux pas de chance, aux pas d'étoiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille, et deux mains tendues de brindille, une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent, nos millions de cœurs ensembles, si nos voix s'unissaient, quels hiver y résisterait ?
Un monde frère, une terre âme sœur, nous bâtirons dans ces cendres peu à peu, miette à miette, goutte à goutte et cœur à cœur. Peu à peu, miette à miette, goutte à goutte et cœur à cœurChanson de Zaz, reprise dans le volume 2 des Kid United
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